Dans les baux des métairies du
domaine de Linières dans le canton de Saint-Fulgent, de 1800 à 1830, les métayers
contractaient en communauté familiale (1). Cela veut dire que le chef de famille
s’engageait auprès du bailleur pour lui-même et ses enfants, même ceux qui étaient
adultes et mariés. Chaque bail précisait le nom des preneurs et
leurs liens de parenté, parents et enfants, gendres, brus, beaux-frères et
belles sœurs, dans l’écrasante majorité des cas. Ceux-ci formaient une
communauté juridique de fait, et les signataires s’engageaient solidairement, « faisant tant pour eux que pour ceux de leur
communauté », suivant la formule qui revient le plus souvent dans les
baux.
Certaines familles d’artisans formaient aussi
une communauté de vie et de travail, nous connaissons le cas de boulangers et
de meuniers, et aussi celui des marchands de bestiaux, Fluzeau-Brisseau
à la Brossière, en 1765. Nous en resterons aux agriculteurs, cas fréquent dans les actes des notaires de Saint-Fulgent.
Nous avons un acte notarié du
notaire de Saint-Fulgent, officialisant ce type de communauté en 1774. Mais si les
communautés familiales, patriarcales aussi, ont existé à la fin du 18e
siècle, elles remontent loin dans le temps, très probablement au Moyen Âge. Ces
communautés patriarcales se sont réduites dans leur importance, avec, le plus
souvent, deux couples seulement la composant, c'est-à-dire deux générations vivant ensemble. Puis elles se sont dissoutes au cours du 20e siècle
à cause de la révolution agricole intervenue et surtout de l’évolution des
mœurs. De nouvelles structures juridiques ont alors vu le jour pour mettre des
moyens d’exploitation en commun, mais concernant le capital surtout (coopérative,
C.U.M.A.), et moins la main d’œuvre.
Œuvre de Turgot |
Notre propos est de partir de
documents de la fin du 18e et début du 19e siècle, il y a
deux siècles et plus, pour évoquer ces communautés. Ils comprennent
une vingtaine d’actes notariés décrivant leur fonctionnement.
L’importance de l’institution
se voit dans notre échantillon de 150 baux écrits de métairies et
borderies entre la fin du 16e
siècle et le milieu du 19e
siècle.
Le cas de Louis Plessis à la Boninière
Pour définir la communauté,
l’acte du notaire Frappier du 14 juin 1774 nous donne des éléments intéressants (2). À cette date, le père Louis Plessis, âgé de 59 ans, vivait avec ses quatre enfants
survivants et son épouse, Louise Debien, au village de la Boninière de Saint-André-Goule-d'Oie. Il avait auparavant habité au Clouin et était bordier, autrement
dit un petit paysan. Il était souffrant et sentant sa fin prochaine, fit venir
chez lui le notaire de Saint-Fulgent, Frappier sieur de la Rigournière. Louis
Plessis est mort quatre jours après et fut enterré dans le cimetière de Saint-André-Goule-d'Oie (3). L’acte notarié cite ses quatre enfants : Louis (40 ans),
Anne (32 ans), Françoise (35 ans) et Jacques (30 ans).
Frères Le Nain : Repas de paysans |
L’expression ancienne de vivre
« du même pain et pot »,
c'est-à-dire partageant le manger et le boire, signifie plus globalement vivre
ensemble sous le même toit. Le cadre de cette vie commune était généralement
une bâtisse comportant deux pièces, parfois trois dans les grosses métairies. Chauffé
par la cheminée de la pièce principale, on s’y entassait pour manger et
discuter autour de la table, prier devant un crucifix, et dormir derrière les
rideaux des lits. D’ailleurs le propriétaire tenait à ce que les habitations
soient occupées. Il est arrivé à celui de Linières de préciser dans des baux,
par trois fois à l’intention des métayers : « Ils ne feront tous qu’un seul ménage sans
pouvoir jamais se séparer ni faire plusieurs feux. »
L’argent gagné n’était pas partagé entre les
couples formant la communauté. Tout était en commun, y compris les frais
engagés par les parents pour leurs enfants, et le prix de la chopine payée le
dimanche chez le cabaretier du bourg.
Nous savons que le chef de famille devait
doter ses enfants au moment de leur mariage et la somme allait dans la
communauté d’accueil de l’enfant. Par exemple, quand le bordier Louis François, (un frère de mon
aïeul), marie sa fille Jeanne en 1792 avec Pierre Millasseau, celui-ci intègre
la communauté de son beau-père au village de la Boninière de Saint-André-Goule-d'Oie. Par contrat il promet de donner à son futur beau-père 120 livres. Le
notaire de Saint-Fulgent, toujours Frappier, dans un acte du 3 janvier 1793, fait
quittance de cet apport (4). Cet acte valait preuve pour partager plus tard
l’héritage de Louis François, car les dots étaient généralement données en
avance d’héritage. Cette somme de 120 livres est faible, correspondant à la valeur d’une paire de
jeunes bœufs (5), comparée au montant, à la même époque, de la dot du
fils du métayer de Linières, Simon Pierre Herbreteau (futur maire de Saint-André-Goule-d'Oie), et celui de sa jeune épouse, Henriette Mandin fille du régisseur
de Linières, qui était de 600 livres chacun (6). Le père de Joseph Guyet,
propriétaire de Linières de 1800 à 1830, dota sa fille aînée de 6 000
livres, plus une rente annuelle de 1500 livres (7).
Le cas de Louis François de la Boninière
J. B. Greuze : Accordée de village (remise de la dot) |
Le fonctionnement de la communauté chez les Plessis
La famille Plessis fait donc acter par le
notaire « que tous ils ont
décidé de mettre en communauté tous leurs biens par portions égales, et pour
d’autant mieux l’officialiser, ils ont déclaré s’associer par les présentes de
tous leurs biens meubles et acquêts immeubles. » En conséquence,
« leur communauté sera composée de
cinq parties égales, dont une appartiendra à Louis Plessis père, et à Louis,
Françoise, Anne et Jacques, ses enfants, aussi à chacun une cinquième partie. »
Et le notaire de continuer à écrire : « Ils vivront tous au même pain et pot sans distinction et préférence et
seront de même tenus aux dépenses de la communauté, à laquelle chacun apportera
et conférera tous les fruits, gains, revenus et émoluments de ses travaux et industrie ;
ils ne feront pas de dettes sans le consentement des autres, au-dessus de la
somme de cinq livres, à peine par celui qui les ferait d’en être seul
tenu ; les parties déclarent que la valeur de la communauté s’élève
actuellement à la somme de quatre cents livres. »
Autre précision importante :
« Plessis père demeure chef de la
communauté ci-dessus établie pour en gérer et administrer les affaires comme
dans le passé ». L’aïeul jusqu’à son dernier souffle, ou l’aîné des
frères, remplissait donc le rôle de chef de la communauté, s’engageant au nom
de celle-ci, dans les baux par exemple. À l’assemblée des habitants de la paroisse il
pouvait représenter son « feu ». Au patriarche on devait obéissance,
comme un devoir de nature religieuse, mélangeant sentiments familiaux, respect
des anciens, devoir envers ses parents et obéissance aux directives du chef
d’exploitation. Autant dire que la personnalité et le caractère du patriarche
ou de l’aîné faisaient le bonheur ou le malheur de ses proches, mais aussi
contribuait à la réussite ou à l’échec de l’activité agricole. Mais cette
communauté avait aussi son utilité. En son sein, on y assumait la naissance et
la mort, la maladie et la vieillesse. On y assumait aussi les mariages dans
tous ses aspects, dont l’impact sur le patrimoine de la communauté n’était pas le moindre. C’était aussi le
cadre du « développement » de l’enfant, si l’on peut dire.
Vincent Van Gogh : Vieux paysan |
La place et le rôle de la communauté familiale dans la société
Le secrétaire de la préfecture de
Vendée, Cavoleau, nous explique en 1800 (8) que presque tous les chefs de
famille faisaient fabriquer par souci d’économie les habits et linge
nécessaires à leur maison, utilisant les services des fileuses, tisserands et foulons (moulins pour traiter les fibres et
tissus). Les métayers se fabriquaient eux-mêmes leurs sabots, comme nous
l’avons constaté dans les baux de Linières. Les différences de revenus ne se
voyaient pas dans les dépenses, elles se cachaient dans l’épargne quand c’était
possible. Mais elles se montraient dans le nombre de domestiques et de bœufs,
et dans la surface des exploitations. Pour se marier on ne s’y trompait pas.
Bref, la frugalité, sévère vue d’aujourd’hui, était le sort commun à tous.
Dire que ces communautés
familiales « structuraient » la société d’alors et en constituaient
la « cellule de base », est une évidence banale. C’est dire le rôle incontournable
qu’elles durent avoir dans la naissance et les évènements de la guerre de
Vendée. La révolte des jeunes contre la conscription militaire a aussi été celle
des chefs de famille. Celle-ci allait créer bien plus d’absences que les
tirages au sort des anciennes milices de l’Ancien Régime, déjà peu populaires,
et elles représentaient un danger pour la survie de certaines communautés
familiales. De plus, les peurs et les haines déclenchées par les révolutionnaires
depuis l’année 1790, ont « macéré » dans les discussions à la veillée
au sein de ces communautés. Et n’oublions pas que les assemblées des habitants
réunissaient toute la communauté paroissiale, avec seulement la centaine de chefs
de famille au maximum qui pouvaient y participer dans une paroisse de la taille
de Saint-André-Goule-d'Oie. D’ailleurs on a vu que les consignes de participation
aux manœuvres et aux gardes du camp de l’Oie sous l’autorité de Royand, chef
royaliste de l’armée du Centre, auxquelles ont participé les hommes de Saint-André, ont été répercutées à la base aux chefs de famille, ceux-ci désignant
même leurs domestiques. L’obéissance laissait peu de place aux expressions de
l’individualisme dans ce type de structure sociale. Imagine-t-on un instant ce que la
devise « liberté, égalité, fraternité » pouvait avoir de bizarre pour
les individus vivant dans ces communautés familiales ? Dans celles-ci les droits
de l’individu ne primaient pas sur le groupe auquel il appartenait. L’individu
et le collectif formaient un tout où se développait l’interaction sociale. Le travail paysan avait ceci de
particulier qu’il confrontait en permanence les désirs et les idées avec les
aléas de la nature. La liberté individuelle était d’abord pour eux une expérience
intime de confrontation avec la réalité. Cela
ne fait-il pas penser au modèle social japonais, paraissant pour une part
éloignée de l’idée d’égalité individuelle proclamée en 1789 dans le nouveau
modèle français en formation ? La libération des communautés familiales viendra plus tard des conditions économiques nouvelles générées par le progrès
technique. Mais les contraintes pesant sur les individus d’alors n’ont-elles
pas prédisposés ces derniers à se mettre au service du groupe avant tout,
avec pour conséquence une aptitude à l’entraide et à la solidarité, précisément à
rebours des aspirations de l’individualisme portées par la Révolution ? D’autant que le message moral
d’une religion omniprésente allait dans le même sens.
Les communautés familiales vivaient dans la frugalité
et l’indigence. Louis Merle (9) donne un
rendement de 12 à 13 hl à l’hectare pour le blé dans la Gâtine poitevine. On a pu vérifier qu’il en allait de même dans la
contrée de Saint-André-Goule-d’Oie. Mais la réalité vécue ne réside pas dans cette moyenne. Ce rendement pouvait
varier du simple au triple d’une année à l’autre, suivant les « cas fortuits et de force majeur » engendrés par les caprices
météorologiques et les épizooties. On sait qu’en 1816, le préfet de Vendée a dû
prendre des mesures pour faire face à ce qu’il a appelé une famine sévissant
dans le département (10). En conséquence, certaines mauvaises années, les
ventes suffisaient à peine à payer le fermage et les impôts, et il fallait
pourtant faire vivre une nombreuse famille. Heureusement il y avait les bonnes
années, où l’on pouvait mettre de l’argent de côté. En plus de la frugalité
permanente, les membres de la communauté partageaient parfois l’indigence des
mauvaises années.
Cette communauté agricole répondait
aux conditions économiques du temps. Les techniques alors en vigueur imposaient
des labours et binages fréquents, l’entretien des haies et des clôtures, des
prairies et des chaintres, les travaux de défrichement des landes (jachères),
le tri des grains etc. Le regroupement de la force de travail en communautés
familiales fournissait une main d’œuvre abondante et pas chère, tant pour les
exploitants propriétaires que pour les métayers. Pour schématiser, il y avait
d’un côté des moyens et petits propriétaires, exonérés des charges à l’égard
des propriétaires, mais dont la surface cultivable était réduite à cause de la
pratique de la jachère. De l’autre côté il y avait des métayers d’exploitations
de 50 ha en moyenne, comme dans le domaine de Linières, qui pouvaient mettre la
force de travail de leur communauté au service d’une surface cultivable
suffisante pour mieux vivre malgré le système de la jachère. Mais ils subissaient les charges du
propriétaire et la précarité de leur bail, bien réelle à l’époque.
Dupré : Bergère au manteau |
Quant à partir des années 1840 en
France, l’industrialisation a offert à l’agriculture des charrues en fer et de
la chaux pour engrais, les terres acides du bocage ont vu leur fertilité
considérablement augmenter. Dans les mêmes structures de faire valoir du sol,
on pouvait en conséquence produire plus avec moins de main d’œuvre, et développer
l’élevage notamment. Cela a favorisé l’exode rural un peu partout en France.
Mais dans le canton de Saint-Fulgent, les communautés familiales sont demeurées
immuables et ont gardé leur main d’œuvre, tout au moins dans un premier temps. On
a parcellisé les exploitations, augmentant leur nombre et diminuant leur surface
(11). Plus fertiles, les terres ont fait vivre plus de personnes. En ce milieu
du 19e siècle, la région, vue du domaine de Linières, a adopté un
modèle original de développement économique. Les communautés familiales se sont
maintenues, souvent sur des exploitations plus petites, les métairies des
grands domaines se divisant et les petites propriétés produisant plus de
richesses. Le développement économique d’alors, au lieu de changer ces
communautés patriarcales, a été mis au service de leur survie. Mais dépourvues
de nécessité économique, celles-ci survécurent quelques dizaines
d’années en tant que norme sociale seulement, puis disparurent au
20e
siècle avec la transformation de ces normes et l’évolution des
mœurs.
L’acte notarié de constitution de la communauté du Plessis
Pour terminer nous reproduisons,
transcrit en langage moderne et accessible, l’acte notarié de constitution de
la communauté Plessis du 14 juin 1774 à la Boninière :
"Par devant nous notaires royaux de la sénéchaussée de Poitiers
soussignés, ont comparus en leurs personnes, identifiés et acceptant, Louis
Plessis bordier, autre Louis Plessis, Françoise, Anne et Jacques Plessis, ces
quatre derniers enfants du premier, demeurant tous en même communauté au
village de la Boninière paroisse de St André Degouledois d’une et d’autre
part ;
lesquels nous ont dit, que depuis longtemps qu’ils demeurent ensemble,
vivant au même pain et pot (vivant ensemble) et faisant bourse commune entre eux, que tous ils ont décidé de mettre
en communauté tous leurs biens par portions égales, et pour d’autant mieux
l’officialiser, ils ont déclaré s’associer par les présentes de tous leurs
biens meubles et acquêts immeubles.
Leur communauté sera composée de cinq parties égales, dont une
appartiendra à Louis Plessis père, et à Louis, Françoise, Anne et Jacques, ses
enfants, aussi à chacun une cinquième partie.
-
Ils
vivront tous au même pain et pot sans distinction et préférence et seront de
même tenus aux dépenses de la communauté, à laquelle chacun apportera et
conférera tous les fruits, gains, revenus et émoluments de ses travaux et
industrie ;
-
ils ne
feront pas de dettes sans le consentement des autres, au-dessus de la somme de
cinq livres, à peine par celui qui les ferait d’en être seul tenu ;
-
Plessis
père demeure chef de la communauté ci-dessus établie pour en gérer et
administrer les affaires comme dans le passé ;
-
les
parties déclarent que la valeur de la communauté s’élève actuellement à la somme
de quatre cent livres.
Toutes les clauses ci-dessus ont été voulues, consenties stipulées et
acceptées par les parties, lesquelles se sont obligées à leur exécution, et,
tous et chacun, à hypothéquer leurs biens meubles et immeubles, présents et futurs,
sans distinction, renonçant à toutes stipulations contraires aux présentes.
De leur consentement, volonté, et à leur requête, nous dits notaires
soussignés les avons, par le pouvoir et juridiction de notre cour, soumis à
notre acte auquel ils se sont obligés.
Fait et passé au lieu de la Boninière en la demeure des dites parties
par moi Frappier, l’un de nous dit notaire, où je me suis transporté
aujourd’hui 14 juin 1774 ; lecture faite, les parties y ont persisté et
déclaré ne pas savoir signer, de ce enquis et interpellé, approuvé en
interlignes : cinquième partie, livres ;
Source : Archives départementales de la Vendée |
Signé : Jagueneau notaire royal
Frappier notaire
royal pour registre
Contrôlé à Saint-Fulgent le 15 juin 1774 reçu trois livres dix sols Signé :
Thoumazeau"
(1) Archives de Vendée, notaire de Saint-Fulgent, Frappier 3 E
30/138, dossier Guyet.
(2) Archives de Vendée, notaire de Saint-Fulgent, Frappier 3E
30/7, acte d’officialisation de la communauté Plessis de la Boninière du
14-6-1774.
(3) Archives de Vendée, registre
paroissial de Saint-André-Goule-d'Oie, sépulture du 18-6-1774 (vue 47).
(4) Archives de Vendée, notaire
de Saint-Fulgent, Frappier 3 E 30/13, quittance de versement François/Millasseau
du 3-1-1793.
(5) Pour 120 livres à cette date,
on, pouvait acheter 2 bœufs de quatre ans (voir l’inventaire du 8-2-1762 de
Louis Corbier du Coudray, à sa mort : archives de Vendée, Frappier 3 E
30/3).
(6) Archives de Vendée, notaire de Saint-Fulgent, Frappier 3 E
30/13, contrat de mariage de Simon Pierre Herbreteau et d’Henriette Mandin du
30-7-1791.
(7) Archives de Vendée, notaire de Saint-Fulgent, Frappier 3 E
30/13, contrat de mariage d’Étienne Martineau et de Catherine Guyet du
16-5-1791.
(8) Cavoleau, Statistique ou description générale du
département de la Vendée.
(9) Louis Merle, La métairie et l’évolution agraire de la
Gâtine poitevine de la fin du Moyen Âge à la Révolution (1958).
(10) Instruction du 17-12-1816 du
préfet de la Vendée.
(11) Le même phénomène est
observé en 1850/1880 dans le canton de Palluau par F. Dupé, Le métayage dans le canton de Palluau,
Société d’Émulation de la Vendée (1978), page 63.
Emmanuel François, tous droits réservés
Septembre 2012POUR REVENIR AU SOMMAIRE
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