Un acte notarié en 1783
Suivant l’usage dans la région de
Vendrennes et d’Ardelay à la fin du 18e siècle, les peleurs d’écorce avaient le
droit de se servir des bois ne leur appartenant pas pour pratiquer leur
activité : prélever au printemps l’écorce des chênes. Mais ils devaient en
laisser la moitié sur chaque tronc. Or les propriétaires des bois ont prétendu
à cette époque que les peleurs exagéraient, en prenant plus de la moitié.
Château d’Ardelay |
Pour donner une base sérieuse à la position des propriétaires, et probablement à leur instigation, le notaire de la baronnie d’Ardelay, maître Jean Chaigneau, a rédigé un acte le mercredi 28 mai 1783, rappelant la limite à ne pas dépasser dans la pelure des écorces des arbres. En voici le texte (1) :
Ils sont donc onze hommes à
s’être déplacés chez le notaire pour témoigner des limites de l’usage en
question : sept d’Ardelay, trois des Herbiers et un de Vendrennes. Nous ne
les connaissons pas tous, mais ils semblent bien constituer un échantillon représentatif
de personnes compétentes sur le sujet évoqué. Un bourgeois, Boisson, en
l’occurrence un propriétaire foncier vivant de l’exploitation de plusieurs
métairies, qui plus est syndic de sa paroisse (ancêtre du maire), un jardinier
du château de la Limouzinière à Ardelay (2). La fonction de ce dernier lui
donnait autorité dans le travail se rapportant aux arbres, et probablement
représentait-il, avec le fermier de la seigneurie, le seigneur foncier, aussi
propriétaire des bois ainsi utilisés. Un artisan charpentier, un marchand et
sept agriculteurs, dont l’un pratiquait en plus le commerce des bestiaux
(marchand laboureur).
André Daumas : Forêt de chênes-lièges |
Ces onze personnes ont donc rappelé que l’usage de peler l’écorce des troncs d’arbre, ne devait pas dépasser la moitié pour chacun d’eux. Il en est de même de nos jours sur les arbres chêne-liège des Pyrénées-Orientales. Cette activité des peleurs individuels n’était pas générale. Dans les alentours de Parthenay, ville où les tanneries étaient nombreuses, les marchands tanneurs achetaient des coupes de bois dans les propriétés rurales de la région alentour. Ils s’engageaient alors à « peller et escorcer les bois … dans la mi-mars » et à procéder à leur abattage immédiatement après (3). Dans ce cas le pelage du tronc visait les 100 %. La mi-mars évoquée ici était bien la période appropriée au moment où la sève montait.
Il apparaît que l’acte notarié avait
pour but de fournir une base écrite sérieuse à la position des propriétaires en
vue d’un procès. Il s’agissait d’établir la réalité d’un usage, qui devait être
reconnu par un juge royal pour être utilisé devant les tribunaux. Depuis
l’ordonnance de 1667 sur la procédure
civile, c’était le seul moyen légal en vigueur de preuve d’un usage reçu
en justice. L’ordonnance avait en effet aboli l’enquête par turbe utilisée
depuis longtemps : un groupe de
personnes qualifiées (tourbiers) affirmaient à l’unanimité qu’une coutume ou
usage allégué existe bien en tel lieu. Cette procédure avait été réglementée
en 1270 par Louis IX (4). C’est que l’usage, comme source de droit, était plus
fréquent que de nos jours, encore faut-il prouver qu’il existe et comment il
existe, étant défini en terme général comme « une chose fréquente
d’ancienneté dont on a toujours usé ».
Cet acte notarié a été passé au
château d’Ardelay, où officiait le notaire de la baronnie. C’était la demeure
de la famille des Herbiers à l’Etenduère, et ensuite de la famille d’Escoubleau.
Le notaire s’appelait Jean Chaigneau et sa compétence, à l’époque elle était
conçue comme une juridiction, se limitait en principe à sa baronnie. Mais en
cas de besoin il insérait dans ses actes une clause d’extension de juridiction (prorogation
selon le vocabulaire d’alors), acceptée par les parties, pour échapper à cette
restriction territoriale. C’est qu’en principe les parties à un acte notarié
devaient alors être domiciliées dans le ressort de compétence du notaire, sous
peine de nullité de certains actes comme les contrats (5).
Par ailleurs on remarquera dans
la formule employée au début de l’acte son caractère judiciaire, les personnes
étant « dûment soumises »,
à la cour ou tribunal du notaire. Il consacre le rôle central de la justice
dans la tradition française, pour donner de la sûreté aux actes privés, par le
magistère de l’authentification. Les notaires avaient pris la place des simples
officiers de justice et de police qu’étaient devenus les sénéchaux ou baillis
au cours du Moyen Âge dans cette fonction d’authentification. Certes les
notaires ne sont plus officiers de justice de nos jours, mais ils ont gardé
leur rôle d’authentification sous la tutelle du ministère de la justice. En
modernisant l’État, les républicains ont renforcé son rôle, déjà central au
temps des rois de France. À l’époque les actes étaient toujours passés devant
deux notaires en même temps, et aux côtés de maître Jean Chaigneau on trouve
maître Graffard, notaire royal. Sa juridiction personnelle, plus large,
comprenait la sénéchaussée du Poitou. L’acte du notaire a été contrôlé aux Herbiers
au bureau de l’enregistrement et des domaines par Graffard-Deslandes, moyennant
le paiement d’une taxe de quinze sols (6). C’était une formalité
obligatoire, servant essentiellement à constater la date des actes. Faut-il
ajouter qu’elle est née de la nécessité de renflouer le déficit des finances
publiques ?
Les
tanneries avant la révolution industrielle en Vendée
Ancienne tannerie du Fleuriais à Mortagne-sur-Sèvre |
Cet acte notarié est l’occasion de se rappeler l’importance de l’utilisation du cuir en cette fin du 18e siècle. Il était destiné à l'agriculture et se diversifiait aussi selon les qualités dans la chaussure, la maroquinerie, la sellerie, l'armement et autres usages. Depuis les temps préhistoriques, l’homme savait le préparer suivant des méthodes naturelles, toujours utilisées en 1783. Elles ont été abandonnées à l’âge industriel avec la naissance de nouveaux produits chimiques. Parmi elles, le tannage végétal utilisait des écorces d’arbre riches en tannin.
La documentation consultée sur le Bas-Poitou indique bien
l’existence de tanneries à cette époque, notamment à Fontenay, Mervent, Luçon
et Coulonges, mais elles ne paraissent pas représenter une forte activité dans
cette région. Il lui fallait un approvisionnement en peaux, qui ne devaient pas
manquer. Des marchands parcouraient la campagne, de villages en villages, pour acheter
les peaux de lapin et de moutons surtout. Les peaux de bœufs et de vaches se
récupéraient sur les lieux d’abattage. De plus, les peleurs d’écorce, on le
constate ici, disposaient de bois abondants dans le bocage et d’un droit,
consacré par l’usage, favorable à leur activité. Mais les procédés utilisés
exigeaient beaucoup d’eau et les tanneries étaient surtout installées le long
des cours d’eau. Le débit du Petit Lay, de la Boulogne, voire de ruisseaux
moins importants semble avoir suffi. Vue d’aujourd’hui on peut être étonné, car
leur débit parait bien faible par endroit en été.
Une recherche dans le site des Archives de Vendée, avec son
moteur de recherche, sur le métier de tanneur fait ressortir son exercice avant
la Révolution de manière plus importante que la documentation sur les tanneries
ne le laisse apparaître. On trouve des tanneurs à la Copechagnière, les
Brouzils, Belleville/Vie, Apremont, Challans, Montaigu, Mortagne, la Verrie,
etc. Mais aussi on repère les tanneurs qui devaient se fournir auprès des
peleurs d’écorce visés dans l’acte cité plus haut : au Petit Bourg des
Herbiers, Saint-Mars-la-Réorthe, Mouchamps, Sainte-Cécile (7), aussi au village
du Plessis Cosson des Essarts au 18e siècle (8). Enfin on connaît un
marchand tanneur demeurant à la Guierche (Vendrennes), repéré lors de son
mariage en 1806 (9).
Dans les archives de la seigneurie de la Pouzaire on trouve
des aveux de la Normandelière (Copechagnière) à Montaigu, où il est fait
mention de plusieurs moulins à tan aux abords de la forêt de Gralas. Les
tanneurs à la Copechagnière et des Brouzils, étaient ainsi bien placés pour
utiliser l’écorce des chênes tout proches et en abondance (10).
Le bois des forêts alimentait aussi une autre activité, les
fours, pour fabriquer du verre, des tuiles, briques et carreaux et aussi de la
chaux. C’était le cas à Vendrennes comme on le voit dans une visite de la
métairie et tuilerie et four de Bonne Œuvre près de la forêt de Mouchamps. Elle
a été effectuée le 1er octobre 1761 entre le propriétaire des lieux,
Joseph de Sarode, et ses nouveaux fermiers, Henri Martineau et Charles Boisson.
Le procès-verbal fait état d’une « halle où était autrefois la verrerie en
partie ruinée » (12). En 1625 il y avait un charbonnier demeurant à la
Pidouzerie de Vendrennes (13). Il fabriquait du charbon de bois grâce aux
forêts de la contrée. Enfin il existait une autre activité dans les forêts, le
ramassage des glands pour l’alimentation des cochons. C’est ainsi qu’au château
de la Rabatelière on acheta 34 boisseaux de glands le 20 décembre 1786, à 10
sols le boisseau (14), soit le quart de la valeur d’un boisseau de seigle.
La tannerie du 18e siècle
Moulin à tan |
Le tanin est une substance organique contenue dans de nombreux végétaux, notamment dans des écorces. Celles-ci étaient hachées, broyées, puis moulues pour être livrées aux tanneries. Pour les approvisionner on utilisait surtout l’écorce du jeune chêne pédonculé dans les bois taillis et non pas dans les bois futaie réservés au bois de charpente. De plus, ses glands nourrissaient les porcs en automne. Il est d’ailleurs très utilisé de nos jours par les vignerons pour l’élevage du vin en fût de chêne, en raison précisément de la richesse de ses tanins. Le texte notarié emploi le mot tan. C’était la poudre d’écorce de chêne broyée dans un moulin. On l’a aussi utilisée avec de la chaux pour obtenir un liant plus résistant de maçonnerie dans les temps anciens.
Le maître tanneur
(patron) travaillait souvent avec plusieurs garçons tanneurs (ouvriers). Les nombreuses
opérations de traitement des peaux étaient physiquement exigeantes dans un air
ambiant de puanteur. Le tannage proprement dit consistait à empiler les
peaux dans de grandes cuves en bois ou en maçonnerie étanches, appelées fosses,
entre des couches de tan neuf. Ces cuves étaient en général enfouies aux trois
quarts de leur hauteur et contenaient de 800 à 1000 litres d’eau (15). II
fallait environ 300 kg de tan pour 100 kg de peau fraîche. L’eau était ajoutée
de manière à tremper toutes les peaux. Le tanin de l'écorce se dissolvait et
était absorbé par celles-ci. Cette dernière opération pouvait être renouvelée
plusieurs fois et, à la fin, les peaux devenaient souples et imputrescibles.
Autour des fosses le terrain
était pavé de larges dalles et le tout reposait sous un hangar appelé halle.
Derrière lui et plus élevés, il y avait d’autres hangars clos de lamelles de
bois peu épaisses disposées en forme de persiennes. Ils servaient de séchoirs
aux peaux tannées. Le tout ne nécessitait pas un capital
coûteux, selon deux baux de 1595 et 1598 à Poitiers (15).
Après le tannage réalisé dans un
milieu acide, il fallait passer en milieu neutre grâce le plus souvent au
carbonate de calcium provenant des pierres de calcaire.
Suivait
la phase du corroyage pour donner au cuir la fermeté, le poli et la souplesse
nécessaires. La gélatine, sous-produit de ces opérations, pouvait être vendue
aux moulins à papier, qui l’utilisaient pour encoller les feuilles de papier
destinées à l’écriture (16). Les pièces en bois et en métal, servant à
assouplir les peaux dans le travail du tannage, s’appelaient des « palissons » dans la région de
Saint-André-Goule-d’Oie. Les outils des tanneurs étaient parfois
appelés les « os de saint Crépin »,
allusion au saint patron des artisans du cuir et des cordonniers, qui vivait à
Soissons au début du IVe siècle (17). On sait l’importance qu’avait le culte
des saints dans la société occidentale issue du Moyen Âge. Le métier de tanneur
comportait des spécialités comme celui de blanconnier, qui blanchissait les
peaux de mouton. On en trouvait à Fontenay. Cette technique décrite ici a
comporté des variantes (ex. cuir de Cordoue) et s’est perpétrée jusqu’à
l’arrivée de nouveaux procédés à base de produits chimiques synthétiques.
En 1793, la Convention Nationale eut besoin
dans l’urgence d’un approvisionnement très important d’équipements en cuirs
pour chausser les nouveaux soldats. On ne pouvait pas attendre les délais
habituels de plusieurs mois pour tanner des peaux. On avait besoin de 170
000 peaux de bœuf, 100 000 peaux de vache et 1 000 000 peaux de
veau. En 1794, le chimiste et industriel Armand Seguin développa un procédé de
tannage en trois semaines, jouant sur la concentration du jus tannant (18). Néanmoins,
la victoire remportée sur le délai se fit au détriment de la qualité.
On ne saurait oublier l’importance de la
pollution des rivières générée par cette activité, d’autant que l’eau n’était
pas colorée par les rejets comme ceux des teinturiers. Or cette eau était
utilisée par les ménagères, surtout dans les villes. Bien des maladies des hommes
et du bétail ont trouvé leur origine dans ce type d’activité. C’est pourquoi l’activité
des tanneurs et des teinturiers a fait l’objet d’un règlement en 1315 dans la
ville de Narbonne, par exemple. Ils ne pouvaient déverser leurs rejets
nauséabonds et colorés dans la rivière qu’au début de la nuit, de façon à ce
que l’eau puisse servir de boisson aux habitants au petit matin (19) !
Ce n’est pas le procédé qui est en cause bien
sûr, mais sa mise en œuvre sans les précautions nécessaires. Le problème est le
même avec les tannages à base de produits chimiques. Notre époque qui aime
parfois faire « retour à la nature », réutilise le procédé ancien de
tannage. Celui-ci n’est donc pas qu’un sujet pour l’Histoire, mais aussi il
peut faire partie des choix dans un projet d’entreprise. On parlera alors du
« tannage végétal », dans une approche marketing propre à séduire les
personnes sensibles à l’argument, parce qu’il diminue le recours aux produits
chimiques. Les spécialistes avancent en même temps un autre argument : le
procédé conserve un meilleur aspect au cuir, plus naturel et avec de plus
grandes possibilités pour les travaux de décoration. Dans cette évolution,
l’artisanat des tannerie vendéennes a disparu. En revanche la région des
Essarts-en-Bocage a accueilli récemment des ateliers de maroquinerie de luxe
des marques Louis Vuitton.
Maroquinerie vendéenne (L. Vuitton) |
Les archives des notaires de Fontenay-le-Comte
nous apprennent aussi que la manie du commerce des emplois publics, dont
abusèrent les rois de France pour remplir leurs caisses souvent vides, avait
aussi touché le travail et le commerce du cuir au 17e siècle. La production de
cuir était contrôlée pour percevoir des « droits de marque ». L’office de « contrôleur, visiteur et marqueur des cuirs », propre à chaque
petite région comme celle de Mervent et des Clouzeaux, était souvent acheté par
des tanneurs, parfois donné à bail à d’autres tanneurs ou marchands tanneurs.
On se contrôlait donc entre gens de la profession ! Mais le début du 17e
siècle est connu pour la déliquescence de ses mœurs administratives. L’officier
appliquait sur les cuirs une marque avec un marteau, constituant une garantie,
ancêtre de nos labels. Ainsi nous avons l’exemple de Pierre de Couignac
affermant son office de contrôleur, visiteur et marqueur des cuirs de Mervent pour
trois ans, le 31 décembre 1622. Les preneurs sont deux frères, marchands
tanneurs, Jehan Maupetit de Pissotte, et Gabriel Maupetit de Mervent. Le bail
est conclu moyennant 70 livres par an et « ung mille de gros cuir à faire carrelure de soulier bon et bien apresté
à faire ouvrage ».
Enfin, il faut indiquer que la nouvelle législation issue de la Révolution mit fin à ce droit particulier des peleurs d’écorce. La propriété était devenue un droit de l’homme dans une définition excluant les charges pesant sur elle. La Révolution supprima les droits seigneuriaux et ceux des peleurs d’écorce en même temps. La loi du 12 juin 1791 édicte en son article 14 « Ceux qui détruiront les greffes des arbres fruitiers ou autres, et ceux qui écorceront ou couperont en tout ou en partie des arbres sur pied qui ne leur appartiendront pas, seront condamnés à une amende double ».
(1) Acte du 28-5-1783 portant que les peleurs d’écorce épèlent à moitié, Archives de Vendée, notaires des cantons des Herbiers à Ardelay, étude A, Jean Chaigneau : 3 E 65 10-1, vue 488/628.
(2) Son propriétaire était à cette date Charles Antoine Bernabé, seigneur de la Boulaie, la Limouzinière et autres lieux, demeurant à Fougère.
(3) Louis Merle, La métairie et l’évolution agraire de la Gâtine poitevine de la fin du Moyen Âge à la Révolution, Éditions Touzot, 1958, page 198.
(4) Marie Bassano, leçon 6, la Coutume, cour de l’université numérique juridique francophone.
(5) Sentence d’ordre du 9-9-1727 des syndics des créanciers de Moreau et Menard, copie du 9-3-1754 (page 42), Archives de Vendée, chartrier de Roche-Guillaume, famille Moreau : 22 J 29.
(6) Il fallait 20 sols ou sous pour faire une livre.
(7) Pour ces derniers, on connaît François Rouillon, beau-frère de Charles Guyet, maître de poste de Saint-Fulgent, lors de son mariage avec Marie Louise Guyet. Voir Archives de Vendée, registre des mariages de Sainte-Cécile le 26-6-1759 (vue 173/275).
Son frère Jean Guyet s’établit à Sainte-Cécile où il fut marchand tanneur. Le fils de ce dernier deviendra régisseur de Linières à partir de 1804.
(8) Revue du Centre vendéen de recherches historiques no 17 (année 2010), A. Gaillard, Louis-Constant Trastour insurgé malgré lui, page 54.
(9) Archives du diocèse de Luçon, fonds de l’abbé boisson : 7 Z 76-1, Saint-André-Goule-d’Oie, lieux-dits et famille Fluzeau.
(10) Archives du diocèse de Luçon, fonds de l’abbé boisson : 7 Z 61, Rabatelière, les moulins.
(14) Achats du 20-12-1786 dans les comptes du château (1786-1787), Archives de Vendée, chartrier de la Rabatelière : 150 J/I 55, page 26.
(15) Paul Raveau, Essai sur la situation économique et l’état social en Poitou au 16e siècle, Librairie des sciences politiques et sociales, Paris, 1931, page 40. [Archives de Vendée : L 14]
(16) B. Raymond, Le grand moulin à papier des Epesses, Recherches Vendéennes, Édition du CVRH et de la société d’Émulation de la Vendée (2013), page 182.
(17) Régine Pernoud, Les saints au Moyen Âge, Plon (1984), page 21.
(18) Eva Halasz-Csiba, Le Tan et le Temps, http://tc.revues.org/1585 - Techniques & Culture 2002.
(19) J. P. Leguay, La pollution au Moyen Âge, Éditions J. P. Gisseront (2007), page 58.
Emmanuel François, tous droits réservés
Août 2020, complété en décembre 2020
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