Les Assises de Languiller poursuivent
trois teneurs du tènement des Noues en 1535. Elles réclament le paiement du
solde d’une rente de 8 ras d’avoine due à la Saint-Michel dernière, de 2
chapons de cens, dont un pour arrérages estimé 30 sols (1). L’un d’eux, André
Brenner, comparant par Pierre Proust, présentera sa déclaration roturière en
1537, paiera ses dettes et sera condamné à une amende de 2 sols pour son retard
(2). Dans une autre sentence de 1592 des Assises de Languiller, apparait comme
teneur aux Noues, Jacques Gazeau « écuyer
seigneur des Noues » (3). C’était le frère de Léon Ier Gazeau,
seigneur de la Boutarlière. Jacques Gazeau, né vers 1555, épousa Françoise
d’Argenton en 1595. Il mourut en 1617 et il est l’auteur des Gazeau de la Couperie
et du Ligneron.
Le tènement (territoire concédé) des
Noues était situé en 1550 en partie près du village des Noues, et contenait 20 boisselées
de terre ou environ (2,5 ha). À cette date les teneurs (propriétaires) de cette
petite surface et du village devaient à la seigneurie de Languiller à cause du
fief du Coin, un chapon de cens à chaque noël (4). En 1680, ils devaient à
Jacques Audouard aîné, écuyer, seigneur des Metz, Martigné et du Plessis,
demeurant dans la paroisse d’Aiffres (au sud et près de Niort), une rente noble
foncière de 14 livres (5). Celui-ci avait épousé Catherine Masson,
arrière-petite-fille de Louis Masson, qui avait acheté en 1567 les droits
seigneuriaux du Pin, et rendait aveu pour ce tènement en 1645 à Languiller (6).
Pour le tènement voisin des Noues on ignore ce qui s’est passé, car les archives
du Coin et de Languiller dans le chartrier de la Rabatelière font défaut pour lui. Mais on peut supposer avec vraisemblance qu’il en fut de
même : vente des redevances des Noues à Louis Masson.
Défrichement des Landes du Pin à la fin du 16e siècle
Pour le pâturage dans le tènement
voisin des Landes du Pin, les teneurs des villages des alentours (Pin,
Crochardière, Noues, Gâst, Javelière, Machicolière, Ridolière et Chevaleraye)
payaient aussi à Languiller à chaque terme de la Saint-Michel des redevances
propres. Pour les habitants du village des Noues et les propriétaires du
tènement, elle était de 4 boisseaux d’avoine en 1550 (7). Les Landes communes
du Pin se situaient entre les tènements de Fondion, des Gâst, de la Brossière,
du Pin, les étangs du Pin et le bois Pothé (près du Clouin). En 1550 ces landes contenaient 256
boisselées (31 ha) relevant de Languiller, et dont le baron des Essarts en
possédait une partie. C’est ainsi qu’il
vendit 20 boisselées de landes situées dans ce terroir au seigneur de la
Boutarlière le 23 mai 1564. Le vendeur était Jean de Bretagne, duc d’Étampes,
et l’acheteur Jean Gazeau. Ce fut une cession à foi et hommage et à devoir annuel
de 15 boisseaux de seigle et 23 ras d’avoine, mesure des Essarts (8). Ces
redevances signifient que la surface concédée était cultivée, ou à mettre en
culture. Près d’un siècle après en 1656, on constate que le seigneur de
Languiller a concédé les Landes communes du Pin à des roturiers, Mathurin
et Lucas Paquereau avec droit de prélever
les « lods et ventes » (droit de mutation) aux changements de
propriétaires, et de percevoir le terrage au 1/6 des récoltes (9). Plus d’une
dizaine de propriétaires payaient ces droits seigneuriaux nouvellement créés,
possédant les 21 parcelles cultivées, encloses
de haies et fossés après défrichement. En même temps les habitants des villages
environnants, dont ceux des Noues, virent leur pâturage se réduire.
Déplacement de
l’étang des Noues au 17e ou 18e siècle
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Étang des Noues en 2019
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En 1658 un étang près du Pin,
appelé l’étang des Noues, était concédé à Charles Tranchant (10). Plus tard,
on dissociera l’étang des Noues,
rattaché au tènement du même nom, des étangs du Pin. D’ailleurs cet étang des
Noues a été déplacé au 17e ou 18e siècle à l’endroit que
nous connaissons actuellement. Dans un document de 1808 on
lit que plusieurs pièces de terre dépendant du tènement des Landes du Pin étaient
limitées à cette date par le « rivage de
l’ancien étang des Noues » (11).
On a peu d’informations sur le régime de ces
étangs, sinon qu’ils étaient dissociés des terres environnantes, constituant à
eux seuls une concession seigneuriale. Avec leurs carpes principalement, ils ont
constitué longtemps une source importante de protéines animales dans un pays où
la chasse était un privilège de quelques-uns, le braconnage une pratique dissimulée, et l’élevage une activité
agricole longtemps limitée dans la région. Au village proche de Fondion l’étang
a disparu à l’époque moderne, alors qu’au Pin comme aux Noues, ils existent
toujours. Ces étangs sont des ouvrages utilisant les ressources en eau
disponibles. Nul doute qu’ils ont transformé le milieu, à la lisière de la
forêt de l’Herbergement. On se demande s’ils ont été une réponse à une remontée
de la nappe phréatique suite au défrichement forestier, ou un préalable pour
cultiver un espace marécageux.
Création de la
métairie des Noues
Ce déplacement de l’étang des Noues est probablement
en lien avec la création de la métairie du même nom, probablement aussi en lien
avec les défrichements du territoire, prolongeant ce qui s’est passé dans le
tènement voisin des Landes du Pin créé à la fin du 16e siècle. Mais
sur cette origine nous n’avons pas de document. La première mention de la
métairie des Noues remonte à 1606, citée dans les confrontations d’un pré
dans un tènement voisin et appartenant à Valérien
Robin de la Milonnière (12). Or dans l’aveu du Coin en 1550
elle n’est pas mentionnée. Sa création se situe donc à la fin du 16e
siècle (13).
Dans une vente au Pin en 1624 on voit que Vincent
Bossard, demeure à la métairie des Noues (14). En 1753
un autre texte indique que le fief de la Mauvinière, voisin des Noues, appartient au seigneur de
Linières à cause de son
épouse (15). Celle-ci était Marie Félicité Cicoteau, héritière de son père
Venant Cicoteau (1697-1729), seigneur du
fief et domaine de Linières que son père, Louis Cicoteau, avait acheté vers 1701. Le seigneur de Linières est entré en possession
du droit de fief sur la Mauvinière à une date inconnue mais postérieure à 1685
(16), étant propriétaire de la métairie des Noues s’étendant au moins en
partie sur ce fief, là aussi à une date ignorée. Peut-être possédait-il des landes déjà
aux Noues depuis longtemps. Après tout le seigneur de la Boutarlière possédait
bien un droit d’abreuvage dans les étangs du Pin, déclaré encore en 1764 pour 8
ras d’avoine (17). Et on sait qu’avant 1342 la Boutarlière et Linières
appartenait au même seigneur de Saint-Fulgent. Mais ceci n’est qu’une hypothèse,
sans document pour l’explorer.
On connaît le nom des métayers
des Noues en 1748, la famille Piveteau. Le 27 avril 1748 Pierre Piveteau
baptise sa fille Marie à Saint-André-Goule-d’Oie, née aux Noues (vue 59). Sur
le registre on lit qu’il est fabriqueur de cette paroisse, c’est-à-dire qu’il a
été élu par l’assemblée des habitants pour tenir les comptes de la fabrique
notamment. La même annotation est écrite sur le registre paroissial le 8 mars
1749 (vue 73), jour de l’inhumation de son épouse Jeanne Piveteau décédée à la
métairie des Noues à l’âge de 33 ans. Pierre Piveteau était le fils de Mathurin
Piveteau et de Jacquette Fonteneau.
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Métairie des Noues
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La métairie des Noues est aussi mentionnée dans le
partage en 1779 de la succession du seigneur de la Rabatelière et de
Languiller, René Montaudouin. Elle devait à ce dernier un cens d’un chapon, 8
livres 10 sols, et une rente noble de 8 boisseaux d’avoine, mais le nom de son
propriétaire n’est pas mentionné (18).
En 1796, quand Mme de Lespinay
rachète le domaine de Linières, la métairie des Noues est exploitée par Jean
Gaborieau, et ses bâtiments, contrairement à d’autres, ne sont pas notés comme
incendiés (19). Nous avons enfin dans cet acte d’achat la preuve que cette
métairie appartenait au domaine de Linières à cette date, donnant du corps aux
indices relevés antérieurement,
tendant à penser que c’était le cas depuis près d’un siècle au moins probablement.
Affermage de la métairie des Noues au 19e siècle
En 1807 elle est louée à colonage
partiaire (métayage par partage des récoltes avec le propriétaire) aux métayers
sortants de la métairie de la Boutarlière, Pierre Leroy, Françoise Hervouet son
épouse et leurs enfants, qui remplacent Mathurin Desfontaines. La durée du bail
est de 5 ans (1808-1813), moyennant le partage des récoltes à moitié avec le
bailleur ainsi que la propriété du gros bétail. Les preneurs donneront chaque
année pour menus suffrages au bailleur 25 livres de beurre (et même 30 livres
dans les années où ils auront 5 vaches), 12 poules, 7 chapons, la somme de 18 F
en argent (pour droit d’élever des cochons à leur profit) et la moitié des oies
qu’ils élèveront. Le nombre apparemment exceptionnel de 5 vaches montrent bien
l’orientation du cheptel vers la production de bœufs d’attelage, c’est-à-dire
de l’outil de travail. L’engraissement pour fournir une filière de la viande
n’était alors qu’accessoire, mais elle va prendre de l’importance au cours du
siècle avec la modernisation de techniques agricoles. Le bailleur « pourra
faire mettre du poisson dans les fossés et réservoirs qu’il fera pêcher tout
seul et quand bon lui semblera, le poisson devant toujours lui appartenir en
entier » (20). Comme les bois futaie, les étangs restaient une réserve du
propriétaire, suivant une pratique ancestrale.
Le régisseur de Linières, Jean
Guyet, cousin du propriétaire, passa un autre bail en 1816 pour 5 ans
(1817-1822) avec Pierre Blandin et François Boilleteau, cultivateurs demeurant
à la Machicolière, en remplacement d’un nommé Roger (21). Le bail est du même
type que le précédent mais on précise que les métayers s’obligent « d’être
quatre hommes de force pour faire chaque année ladite métairie ». Cette
précision se comprend dans les baux à partage de fruits, n’ayant pas lieu
d’être dans les baux à prix d’argent. Le revenu annuel est estimé à 200 F
(nettement sous-estimé car destiné à l’administration fiscale). Le bail est
renouvelé avec Pierre Blandin et sa femme en communauté avec leur fils et leur gendre
en 1823 pour 5 ans (1824-1829), moyennant une ferme annuelle payée en argent de
900 F (22). Cette fois on est passé au bail à prix d’argent suivant une
politique voulue par le propriétaire dans son amenage, mais impliquant la
possession du bétail par les métayers. M. Guyet leur vend alors sa moitié des
bestiaux en leur faisant crédit sur les 3 premières années du bail pour le
paiement. Les preneurs s’obligent de plus à planter, soigner et entretenir par
chaque année du bail dix pieds d’arbres. Enfin en 1830, Augustin Blandin, fils
du précédent, et son beau-frère François Balleau, sont renouvelés dans un nouveau
bail encore pour 5 ans (1829 à 1834), moyennant une ferme de 918 F (23).
Constatant que les métayers n’ont pas payé le rachat prévu du bétail
appartenant au propriétaire bailleur, ce dernier leur renouvelle la vente pour
le montant estimé de 985 F, dans les mêmes conditions de crédit que précédemment.
Une nouvelle clause particulière concerne l’arrivée d’une jument sur la
métairie, payée à moitié par les parties et valant 180 F. Le propriétaire
Joseph Guyet étant mort le 30 mai 1830, c’est son fils Marcellin
Guyet-Desfontaines qui signe le bail, étant son unique héritier.
Joseph Gourraud, juge de paix à
Saint-Fulgent et cousin de ce dernier, déclare au bureau de Montaigu la
succession de Joseph Guyet le 2 novembre 1830 (no 227), dans laquelle on lit
que la métairie des Noues est affermée 638 F par an, impôts compris (vue 67 du
registre numérisé). Il s’agissait du revenu cadastral probablement, qui est une
base fiscale réglementée et non pas de la réalité du prix de ferme. Dans la déclaration
de succession de Marcellin Benjamin Guyet-Desfontaines au bureau de Montaigu le
5 octobre 1857 no 188 (vue 98 à 101 au premier registre, et vues 2 à 7 au
deuxième registre suivant), on lit que la métairie des Noues contient 52 ha 34
ares 50 centiares, d’un revenu cadastral de 684,91 F et d’un revenu réel annuel
de 1216,85 F. En 1875 elle est affermée à la veuve Jaud et Charrieau, moyennant
une ferme annuelle de 2 180 F, plus les menus suffrages estimés à 13
F : charrois et cire d’abeille (24). En 1885 elle est affermée à Billaud,
moyennant une ferme annuelle de 2 300 F (25). On voit dans l’envolée de
ces prix de ferme au début de la deuxième moitié du 19e siècle,
l’augmentation de la rentabilité résultant principalement du commerce de la
viande. Les engrais chimiques (chaux surtout) et les nouveaux outils en métal
(charrues) ont permis la forte augmentation des prairies artificielles et du
fourrage pour le bétail.
La métairie fut vendue par le
nouveau propriétaire de Linières en 1897, Augustin Auriault, à un nommé Célestin
Loizeau demeurant à Nantes (26). A. Auriault l’avait acquise avec
le domaine de Linières le 6 avril 1897 par adjudication au tribunal civil de la
Roche-sur-Yon. Le cahier des charges de l’adjudication comprenait une
description de chaque métairie (27). Les Noues occupaient alors une surface de 50
hectares, avec 30 parcelles cultivées d’une surface moyenne de 1,60 hectare
chacune, représentatives du défrichement d’origine où la plupart des champs
faisaient un ou deux hectares. L’huissier de Saint-Fulgent a aussi relevé les
cultures pratiquées lors de son passage au mois d’octobre 1896. On y voit d’abord
que l’étang, non seulement ne fait pas partie de la métairie, mais aussi n’est
plus compris dans le domaine de Linières, ayant été vendu à une époque non
repérée. Les prés et pâtures occupent une surface de 23 % des parcelles
cultivées, auxquels il faut ajouter 30 % consacré à la culture des plantes
fourragères. Parmi elles dominent les choux et le trèfle ; les rèbes, vesce
et carottes comptent pour peu. S’ajoute 1 % de la surface pour la culture du
lin. Mais à cette date 9 % des surfaces sont en chaume ou non emblavé, en repos
dans l’attente des travaux du printemps prochain. Les céréales occupent 37 % des surfaces
cultivées, dont les 60 % pour le froment, et le reste pour le seigle et l’avoine.
(1) Assises de Languiller et fiefs annexes en 1535, Archives de Vendée, chartrier de la Rabatelière : 150 J/M 22, pages 401, 409, 433 et 438.
(2) Assises de Languiller et fiefs annexes en 1537, ibidem : 150 J/M 22, pages 584 et 585.
(3) Assises de Languiller et fiefs annexes en 1592, ibidem : 150 J/M 33, pages 111 et 112.
(4) Aveu du Coin Foucaud et du Vignault du 2-7-1605 par Languiller aux
Essarts – deuxième copie d’un aveu de 1550, page 30, Archives de Vendée, chartrier
de la Rabatelière : 150 J/G 61.
(5) 150 J/G 14, partage de la
succession Audouard/Masson en 1680 concernant le Pin et la Baritaudière.
(6) 150 J/G 10, déclaration noble sur papier du
1-9-1645 de Jacques Audouard à Languiller pour les droits seigneuriaux du Pin.
(7) Idem (1).
(8) Lieux-dits de Chauché, la Boutarlière, Archives
du diocèse de Luçon, fonds de l’abbé Boisson : 7 Z 29-2.
(9) 150 J/G 11, déclaration noble du 13-7-1656 de
Mathurin et Lucas Paquereau à Languiller pour les Landes de l’étang du Pin.
(10) 150 J/G 10, déclaration du 8
avril 1658 de Charles Tranchant à Languiller pour les étangs des Nouhes et du
Pin.
(11) Gaulaiement du 3-2-1808 du tènement des Landes
du Pin, Archives de la Vendée, don de l’abbé Boisson : 84 J 14.
(12) 150 J/G 47, déclaration
roturière du 3-6-1606 de 4 teneurs pour la Milonnière, Bruères et Suries.
(13) Idem (1).
(14) Note no 2 sur les Noues à
Saint-André-Goule-d’Oie, Archives d’Amblard de Guerry : S-A 2.
(15) 150 J/G 8, déclaration
roturière du 2-4-1753 de 38 teneurs à Languiller pour la Bequetière.
(16) 150J/A 12-2, aveu du 31-3-1685 de Pierre de la
Bussière à Languiller (Philippe Chitton) pour le fief de la Mauvinière
(Saint-André-Goule-d’Oie).
(17) 150 J/G 11, déclaration roturière du 12-6-1764 de
Meterau et Reveleau pour des domaines au Pin.
(18) Partage du 18-10-1779 de la
succession de René de Montaudouin seigneur de la Rabatelière, page 31, Archives
de Vendée, chartrier de la Rabatelière : 150 J/C 68.
(19) Archives de Vendée, vente des biens nationaux, dossier
de l’achat de Linières : 1 Q 240 no 317.
(20) Ferme des Noues du 15-4-1807
de J. Guyet à Leroy, Archives de Vendée, notaires de Saint-Fulgent, papiers
Guyet : 3 E 30/138.
(21) 3 E 30/138, ferme des Noues du
20-12-1816 de J. Guyet à Blandin et Boilleteau.
(22) 3 E 30/138, ferme des Noues du
1-7-1823 de J. Guyet à Pierre Blandin.
(23) 3 E 30/138, ferme des Noues du
5-9-1830 de Guyet-Desfontaines à Blandin et Balleau.
(24) Déclaration de la succession de Marcel de Brayer au
bureau de Montaigu no 230 du 13-12-1875 (vue 112 du registre numérisé).
(25) Déclaration de succession de
Duval Eugène Emmanuel Amaury, Archives de Vendée, bureau de Saint-Fulgent no 95
du 25-6-1886 (vue 57).
(26) A. Huitzing, Modes de
faire-valoir et changement social à Saint-André-Goule-d'Oie de 1840 à 1976, Annuaire de la Société d’Émulation de la
Vendée (1980).
(27) Vente par adjudication de Linières
le 6 avril 1897, Archives de Vendée, cahier des charges des adjudications
(1897-1039) : U 1-354, pages 158 à 174.
Emmanuel François, tous droits réservés
Janvier 2019, complété en janvier 2023
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